A.R
Les ombres fantastiques
Eau de parfum
Générateur puissant de zones d’ombres dans nos identités. C’est que : vétiver et iris pour une fois associés viennent saper ces fondements qu’on croyait assurés.
Si je mêle l’ultra-masculin à l’ultra-féminin, alors qu’est-ce que je deviens ? Dois-je craindre de m’attirer moi-même, laissant de côté le genre humain ?
On se croit baroudeur mal rasé, navigatrice en solitaire l’instant d’après.
Personnalité
Vous êtes comme A.R, vous faites partie des Statuaires : affirmées et doté d’un grand pouvoir de conviction.
« Les Ombres Fantastiques » trouble notre identité : Baroudeur mal rasé, navigatrice en solitaire l’instant d’après.
Notes
- Tête
- Bergamote,
- Cardamome,
- Coeur
- Cyclamen,
- Iris,
- Fond
- Vétiver Haïti,
- Cèdre Virginie,
- Santal,
- Musc blanc,
Description
- Contenance
- 30 ml,
- 1,01 fl. Oz.,
- Poids
- 157 gr,
- Flacon
- H 58 mm,
- D 53 mm,
- Etui
- H 62 mm,
- L 57 mm,
- l 56 mm,
Ingrédients
Alcohol Denat. (SD Alcohol 39-C), Parfum (Fragrance), Aqua (Water /Eau), Coumarin, Limonene, Linalool, Geraniol, Benzyl Alcohol, Tocopherol, BHT. 80% Vol.
Ceci est une liste indicative. Pour plus de précisions, veuillez-vous référer à la liste des ingrédients inscrites sur votre packaging. Usage externe seulement. Eviter le contact avec les yeux. Ne pas appliquer sur peau irritée ou fraichement rasée.


Déclaration
Les ombres fantastiques.
Les Ombres Fantastiques est un parfum de prise de risque. Générateur puissant de zones d’ombres dans nos identités. C’est que : vétiver et iris pour une fois associés viennent saper ces fondements qu’on croyait assurés.
Si je mêle l’ultra-masculin à l’ultra-féminin, alors qu’est-ce que je deviens ? Dois-je craindre de m’attirer moi-même, laissant de côté le genre humain ? A.R est ainsi fait qu’il nous laisse voyager, loin, très loin des sentiers balisés.
On se croit baroudeur mal rasé, navigatrice en solitaire l’instant d’après. La violette est virile, le tabac froid féminisé. On ne sait plus qui séduire, par qui se faire désirer.
Si le rapport à l’autre s’en trouvait modifié, ne compterait plus le flacon, mais bien l’unique ivresse.
